Il y a des lignes de crêtes, frontières visibles, évidentes, des profils dessinés par les éléments de paysage, le ciel et la terre. Les limites définissent des entités. L’ontologie sépare des corps accolés.
Il y a des marais salants, pièges à attraper la substance invisible, dissoute dans la mer, son sel, par évaporation. Les sels contiennent l’histoire, imperceptible, souvent indéchiffrable à nos yeux, celle des mers et des océans. Les mers sont sans limites, un même liquide.
Ici, Baptiste continue son exploration du monde.
En archéologue minutieux il recueille des traces de sédiments qu’il ordonne en châteaux de sable ; il rend visible les frontières et l’essence organique des choses.
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Les oeuvres exposées
